Les Aventures De David Ep 24 : Gardes Rapprochés

LES AVENTURES DE DAVID 24
Ep 24 : GARDES RAPPROCHÉS


C'était le plus jeune gradé de sa promotion. Il avait décidé très jeune d'entrer dans l'armée. École militaire, préparation militaire, issu d'une famille de militaires … Enfin bref il avait de la chance l'uniforme lui allait comme un gant ! Laurent restait malgré tout un garçon très '' cool '', il n'était pas bagarreur, pour lui l'armée était avant tout là pour garantir la paix, et ce matin il avait un rendez-vous important, entendez par là, il était convoqué dans le bureau du général.

En arrivant à l'état-major il remarquait tout de suite qu'il se passait quelque chose d'anormal. Il y avait la présence d'une garde spéciale réservée à la présidence. Il ne s'en inquiétait pas, il n'était pas si rare que cela que des personnages importants viennent ici. Il se présentait à l'accueil, on lui confirmait qu'il était attendu, suivait une salle d'attente ou un autre jeune officier de son âge attendait déjà, salut de rigueur puis les deux jeunes hommes attendaient sans rien dire, debout face à une fenêtre.

Le jeune homme déjà présent ne portait pas d'uniforme, mais avait salué Laurent à la manière d'un militaire.

Laurent : Vous êtes militaire vous aussi.
Ed : Lieutenant Édouard Cascou pour vous servir mon capitaine.
Laurent : Capitaine Laurent Lassible, repos ! Vous n'êtes pas en uniforme …
…
Ed : Vous êtes convoqué chez le général ?

Laurent faisait oui de la tête.

Ed : Avez-vous une idée de la raison pour laquelle ils nous ont convoqués ?
Laurent : Pas la moindre.
Ed : Quand je suis arrivé, j'ai vu le président, il arrivait et le général venait le saluer …
…
Ed : Vous pensez que cette visite officielle a un rapport …
Laurent : Vous vous posez trop de questions … Nous ne devrions pas tarder à le savoir …

Les deux hommes reprenaient la contemplation du jardin.

Au bout d'un moment du semblait durer une éternité, un sous officier entrait dans la salle : '' Messieurs, vous êtes attendus, voulez-vous bien me suivre. Les deux premiers hommes étaient conduits dans le bureau du général, en effet le président y était. Ils allaient se présenter comme seuls les militaires savent le faire …

Le président : Repos jeunes gens, repos. Voulez-vous bien vous asseoir nous avons à parler.

Suivait une longue discussion, le Lieutenant Cascou, se voyait bombardé Capitaine. Il s'attendait à une promotion depuis déjà quelques temps, ce n'était donc pas une surprise. On leur parlait d'une mission qui impliquait une grande rigueur, une grande discrétion et de bonnes manières. Ils avaient ces qualités. S'il acceptaient la mission, ils passeraient les prochaines semaines en caserne à se préparer. Ils seraient ensuite détachés de l'autorité militaire et recevraient leurs ordres directement du conseil d'administration de la PK et de son directeur.

Ils acceptaient tous les deux sans aucune hésitation.

Quelques jours plus tard c'est en uniforme que le jeune Capitaine Cascou se présentait à la caserne. On leur avait réserver une chambre chacun, c'était spartiate mais confortable. Les chambres faisaient quinze mètres carré à peine, elles étaient côte à côte. Dans le reste de l'étage il y avait tout un contingent qui serait sous leurs ordres. Pour le moment ils étaient tous directement sous les ordres du général, par la suite ils seraient sous les ordre de … C'était un peu moins clair, il devraient rendre des comptes à la police, au maire, au gouverneur … A leur client aussi mais là c'était très difficile pour obtenir des informations, il y avait comme un secret militaire mais nos deux héros avaient l'habitude de ne pas poser de questions.

On les formait à différentes techniques de garde rapprochés. Garde du corps serait leur mission, mais le corps de qui ? On leur apprenait aussi à passer inaperçu dans une soirée mondaine, ou à préparer et à servir des cocktails, après le stage ils seraient tous capable de prendre place dans un restaurant ou un bar et d'assurer le service comme de vrais professionnels.


Laurent et Édouard se rapprochaient, devenaient amis. Souvent le soir une discussion se prolongeait dans la chambre de l'un ou de l'autre.

Ed : Vous êtes d'une famille de militaire m'a-t-on dit ?
Laurent : Oui, depuis trois générations …

…

Laurent : Vos parents sont des artistes, ça n'a rien à voir avec la carrière militaire.
Ed : C'est vrai que dans la famille mon engagement dans l'armée a été un choc …

…

Laurent : A ton avis pourquoi ils nous ont choisi nous ?
Ed : J'en sais rien, on ne sait même pas qu'elle sera notre mission.
Laurent : Nous seront garde du corps, c'est à peu près tout ce que j'ai pu obtenir comme informations.
Ed : Et tu as une idée de qui il s'agit ?
Laurent : Mais c'est sans importance, une grosse ponte …
Ed : Notre préparation, notre sélection n'a rien d'habituelle. Ce n'est pas une mission ordinaire qui nous sera confiée.
Laurent : Pourquoi tu dis ça ?
Ed : Nous somme tous porteur d'un dispositif de chasteté.
Laurent : Non ! Pas moi !

…

Ed : Excuse-moi. Je pensais que toi aussi.
Laurent : Toute l'équipe ? Tu est sûr ?
Ed : Ça ne fait aucun doute, tout le monde, porteur permanent !

…

Le quotidien reprenait, entraînement, formation … Laurent restais pensif à l'idée d'être le seul à ne pas porter de dispositif de chasteté. Il se posait des questions, à commencer par celle-ci : pourquoi ?

En rentrant de l'entraînement, il y pensait. Seul sous la douche il se demandait qu'elle serait leur mission exacte. Tout ce qu'il savaient c'est qu'ils assureraient la sécurité d'un personnage important, enfin important on ne leur avait pas dit important mais la déduction était facile. Sinon ils n'auraient pas cette entraînement. Il laissait l'eau couler sur son corps longuement. C'est le bruit de la porte qui le sortait de ses pensées.

Les douches avait des cabines mais qui toutefois n'avaient pas de porte, ce qui assurait un minimum d'intimité et il se disait que en effet bien qu'ils aient pris plus d'une fois leur douche en même temps, Ed et lui il ne l'avait jamais vu nu de face … Justement c'était lui qui venait d'entrer.
Pour le reste de l'équipe il y avait un autre local de douches, sans cabines lui.

Laurent penchait la tête, il avait envie de voir à quoi ça ressemble un dispositif de chasteté sur quelqu'un, Ed se déshabillait et se croyant seul ne prenait pas la peine de passer sa serviette autour de ses hanches.

Ed : Ah tu es là ! Je ne t'avais pas entendu !
Laurent : Ouai, une bonne douche en fin de journée, ça fait un bien fou.

Laurent ne pouvait pas détacher ses yeux du dispositif de son camarade. C'était un modèle en titane, pas le modèle permanent … Enfin je m'explique mal, je veux dire que ce n'était pas le modèle PK OR qui ne peut plus être retiré, c'était un modèle moins … inquiétant …

Ed : Tu as vu ? ( en montrant avec ses deux mains son dispositif )
Laurent : Et tu le portes depuis longtemps ?
Ed : Depuis mes seize ans. Ça aussi, ça a été un choc dans ma famille.
Laurent : Une famille d'artistes …

Ed ne prenait plus la peine de se cacher, jusque là il avait été un peu plus réservé mais c'était plus la peine maintenant que son camarade était au courant. De plus Édouard était un peu éxib. C'est Laurent qui maintenant jouait les prudes, d'habitude il se déshabillait devant son camarade sans aucune gêne mais là il semblait … Pudique … Ed s'en rendait compte.

Ed : Tu n'as jamais porté un dispositif comme ça ?
Laurent : Dans l'école militaire ou j'étais ce n'était pas obligatoire et en fait personne n'en portait.
Ed : C'est rare, on m'a dit en effet qu'il y avait un école comme ça, qu'il en restait une.
Laurent : Mais c'est pas trop dure à porter ?

Ed ne répondait pas.

Laurent : Et comment tu fais pour … ?

Ed ne répondait toujours pas. Laurent sortait de sa cabine, regardait dans les cabines à côté, il n'y avait personne. Faisait le tour et retrouvait son camarade dans la partie des douches qui n'avait pas de séparation. Ici il ne pouvait pas entendre Laurent.


Ed pouffait de rire en voyant son camarade, il bandait !

Ed : Tu en as une belle dis donc.
Laurent : Oh excuse moi !
Ed : Ne soit pas gêné, au contraire ça ne fait pas mal aux yeux, au contraire, moi j'aime bien voir un mec bander.
Laurent : Euh !
Ed : C'est parce que moi, comme tu peux voir, je ne peux pas vraiment …

Laurent continuait sa douche à côté de son camarade.

Laurent : Et comment tu fais si tu as vraiment envie de … ?
Ed : Je ne fais pas !
Laurent : Ah !
Ed : En fait il y a des petits gadgets qui te purgent la prostate, mais moi j'aime pas, on ne sent rien. Je préfère des gadgets plus … virils …

Laurent ne semblait pas comprendre.

Ed : Tu voulais te branler là ? Non ?

Laurent devenait tout rouge.

Laurent : Bein oui mais, je ne vais pas là, excuse moi …
Ed : Mais si vas y j'aimerais bien te regarder.

Laurent était surpris, mais mécaniquement il passait sa main sur sa queue, il bandait toujours. Il refermait sa main fermement et se caressait la queue, il serrait un peu plus sur le gland puis massait le reste de sa bite jusqu'à sa racine. Le mouvement reprenait et s'accélérait. Ed ne loupait rien, lui il n'essayait même pas de se masturber, mais sa cage de chasteté se redressait devant lui. Sa queue se révoltait et exigeait de pouvoir sortir. Il n'avait pas la clé !

Laurent le regardait, il avait la bouche légèrement ouverte et le regard troublé. Ed s'approchait lentement de lui, sa main rencontrait la main de Laurent, elle se retirait et lui laissait la place. C'est Ed maintenant qui masturbait lentement Laurent.

Ed s'accroupissait devant son camarade et prenait sa queue dans la bouche, c'était pas la première fois qu'il faisait ça et il savait y faire. Tout d'abord sa langue, le bout de sa langue caressait avec une extrême douceur le gland de Laurent qui soupirait de plaisir. Pour lui c'était une première, aucune fille, personne ne lui avait jamais fait ça. C'était d'autant plus agréable que Ed s'y prenait très bien.

La langue léchait ensuite le reste du membre viril de Laurent, les lèvres à leur tour déposaient des baiser sur la queue de Laurent, puis sur ses couilles. Ed caressait en même temps les cuisses de son camarade avec les deux mains qu'il faisait remonter jusque sur ses fesses et un doigt se promenait avec impudeur entre les deux fesses, s'attardant sur le petit trou qui s'y dissimule.

Ed prenait maintenant la queue de Laurent complètement dans la bouche, sur toute sa longueur et Laurent se cramponnait au moment ou son gland s'écrasait au fond de la gorge d' Ed. Il ne pouvait pas toucher le mur qui était trop loin, il n'y avait rien qu'il puisse attr et c'est donc à la tête de son ami qu'il se cramponnait sans même s'en rendre compte. C'est également sans s'en rendre compte qu'il tirait avec force le visage de son camarade vers lui et l'écrasait contre son ventre.

Ed ne résistait pas et tirait Laurent vers lui, il prenait une grande respiration et avalait la queue de Laurent jusqu'à la garde, puis toujours en le tirant vers lui avec les mains sur ses fesses restait comme ça sans bouger. Laurent gémissait de plaisir, se crispait, se relevait sur la pointe des pieds. C'était nouveau pour lui, et il ne savait pas comment réagir, se laisser aller, s'abandonner, se ressaisir, prendre le contrôle de la situation … Mais pour faire quoi alors !

Quand Ed retirait sa tête en arrière c'était pour mieux revenir après après avoir pris à nouveau une grande respiration. Puis il retirait la tête en arrière de nouveau et de nouveau avalait la queue de Laurent sur toute sa longueur. Ce jeux continuait pendant un long moment. Laurent tremblait de plaisir, gémissait de plus en plus fort.

C'est sans même s'en rendre compte, par pur réflexe qu'il avançait et reculait le bassin, doucement, imperceptiblement. Ed relevait les yeux et le regardait. Laurent prenait alors la situation en main. Il accélérait le mouvement et c'est lui qui maintenant enfonçait sa queue dans la gorge de son camarade. Son souffle s'accélérait, ses mouvements aussi, doucement au début puis plus fermement. Lentement au début puis rapidement. Ed ne résistait pas, il participait au mouvement en tirant le bassin de Laurent et en avançant le visage vers lui quand il lui enfonçait sa queue dans la gorge. Il avait du mal, Laurent était bien monté mais il avait aussi une certaine habitude, Édouard, et il aimait ça !

Laurent ne comprenait plus ce qui se passait mais il s'en moquait, maintenant il se lâchait. Ses coups de bassins étaient rapide et violents, il gémissait fort maintenant. Les douches leurs étaient réservées et ils ne risquaient donc pas d'être dérangés. Ed avait du mal à suivre et ne parvenait plus à se synchroniser avec les mouvements de Laurent. Il ne le tirait plus vers lui, il se contentait d'ouvrir la bouche le plus possible et d'encaisser, mais là il avait vraiment du mal.

Ed gardait les mains sur les fesses de Laurent et essayait de suivre le mouvement. Laurent enfonçait sa queue bien à fond, ne se retirait pas, tremblait, gémissait et éjaculait avec force dans la gorge de son ami. Au même moment comme un réflexe Ed Enfonçait un doigt dans le cul de Laurent qui là hurlait de plaisir, il lâchait encore deux giclées de sperme directement dans la gorge de Ed puis une troisième.

Avec son doigt bien enfoncé dans le cul de son copain Ed lui massait fébrilement la prostate. Le corps de Laurent se détendait, il lâchait la tête de Ed, qui ne se retirait que partiellement, gardait la queue de Laurent dans la bouche et continuait à la sucer avec des mouvements de langue.

Laurent tremblait de plaisir, il jouissait mais cette fois ce n'était pas avec sa queue mais avec sa prostate, il râlait de plaisir et se retirait. Au moment ou sa queue sortait de la bouche de son camarade, celui-ci retirait son doigt. Plus personne ne bougeait.

Ed relevait les yeux, on pouvait y lire la frustration. Laurent lui caressait les cheveux. Ed se relevait.

Ed : Je ne sais pas si ça répond à ta question mais …
Laurent : C'était quoi la question ?
Ed : Comment on fait pour …
Laurent : Au moment ou tu as introduit ton doigt … J'ai jamais joui comme ça !

Les deux hommes se calmaient et reprenaient leur douche.

Ed : On recommencera ?
Laurent : Bein ! J'ai rien contre !

Ed le regardait alors droit dans les yeux et lui répondait.

Ed : Je te préviens, je veux me la prendre dans le cul avant que …
Laurent : Avant que ?
Ed : Avant que … Tu ne portes toi aussi un dispositif comme le mien !
Laurent : Mais j'ai pas prévu de porter un dispositif comme ça !

…

Laurent : Et pourquoi tu dis ça ? Pourquoi je devrais porter une truc comme ça ?
Ed : Voyons tu es le seul de tout notre groupe à avoir la bite à l'air, à pouvoir te branler ou enculer qui tu veux. Avec les règles morale de notre société c'est déjà presque une anomalie. Et moi je pense que pour notre mission tu devras en mettre un.

Laurent restait pensif. Dans le passé on lui avait déjà proposé de porter un truc comme ça, il avait toujours refusé. Il avait bien sûr des amis qui avaient fait ce choix et même un officier de son âge qui portait un dispositif PK-OR, le modèle qu'on ne peut plus retirer, il n'a pas de cadenas, pas de serrure, il est riveté, les deux parties de la cage emboîtées l'une dans l'autre d'une manière définitive. Il avait donc déjà pensé à porter un tel dispositif mais jamais d'une manière sérieuse.

Et ce dernier commentaire le mettait face à une situation qu'il voyait maintenant sous un angle nouveau.

Ils sortaient de la douche. Laurent ne disait plus rien.

Ed : Ne t'inquiètes pas, en fait je ne sais rien, il n'y a peut être aucune raison que la situation change, c'est peut être ainsi que les choses doivent rester.
Laurent : On pourrait en parler un peu plus ?
Ed : Bien sûr.

Laurent ouvrait la porte de sa chambre et laissait entrer Ed.

Ils ont parlé tard dans la nuit. Laurent désirait brusquement en savoir plus. Ce qu l'on ressent, si ça fait mal au début, si gêne les mouvements au début … S'il faut du temps pour s'y habi.

Laurent : Je n'avais jamais pensé qu'un jour on pourrait me demander de porter un de ces trucs, mais maintenant je me demande … Et je me demande surtout ce que je répondrais …
Ed : Ça t'inquiète ?
Laurent : Bein oui un peu !
Ed : Tu sais, on ne peut pas t'y obliger !
Laurent : Tu sais maintenant que j'y repense, j'avais un camarade de promotion à qui l'état-major a proposé de porter une dispositif PK-OR … Peut après il voyait sa promotion avancer …
Ed : Et tu penses que tu gagnerais un grade si tu portait une PK-OR ?

La discussion se prolongeait encore un long moment puis chacun se retrouvait dans son lit. Ben oui vous vous imaginez bien que dans le même lit, là ça risquait de faire jaser … Il n'en a jamais rien dit mais on peut être sûr que Laurent cette nuit a rêvé du cul de Édouard, son camarade. Il a un peu rêver aussi qu'il devait porter un dispositif de chasteté un truc jaune, couleur or … Celui qui ne peut pas être retiré. Pour Édouard, lui, il a rêvé à le bite de Laurent. Il a rêvé que Laurent pouvait rester libre de ses mouvements et que régulièrement il se prenait cette grosse queue dans le cul.

Quelques temps plus tard cette histoire se précisait. Laurent était convoqué de nouveau chez le général mais seul cette fois ci. On lui donnait quelques détails sur la mission à venir.

Il en revenait un peu pensif et allait aussitôt voir son camarade et ami Édouard dans sa chambre.

Laurent : On m'a donné quelques détails sur notre affaire !
Ed : Vas y raconte !
Laurent : Comme tu l'avais deviné, c'est une grosse ponte que nous devront protéger.
Ed : Famille du président, ambassadeur … ?
Laurent : On ne me l'a pas encore dit ! On m'a demandé si j’acceptais de porter un dispositif comme le tien !
Ed : Je m'en doutais un peu, et qu'est-ce que tu as répondu ?


N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast

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